Les différences entre un MBA et un EMBA

La plus grande différence entre un MBA et un EMBA, c’est l’expérience professionnelle des participants. Ceux qui souhaitent suivre un EMBA doivent avoir plusieurs années d’expérience professionnelle. En fait, les participants au programme de formation EMBA sont déjà des professionnels aguerris, en gestion et management. La formation dispensée se base sur les expériences des participants et une expertise pointue.

Les sujets abordés nécessitent des savoir-faire précis et des expériences réelles. Or, un programme de formation en MBA s’adresse à des participants peu expérimentés. Une autre différence entre les deux types de programme, c’est le rythme de la formation. Les participants à un EMBA peuvent suivre le programme à leur rythme. Il leur est possible de continuer leur carrière professionnelle en parallèle avec leur formation. Pourtant, un programme en MBA impose aux participants de mettre leur carrière entre parenthèses pendant un ou deux ans.

Que choisir : une formation en MBA ou en EMBA ?

Entre MBA ou EMBA, lequel choisir ? En fait, le choix entre les deux est assez simple. Si vous avez une grande expérience professionnelle à votre actif, vous pouvez suivre une formation en EMBA. Ce programme est adapté si vous avez eu à vous occuper de gestion RH, de management d’équipe, de finances, etc. La formation vous permettra de franchir une nouvelle étape pour évoluer encore plus.

Mais avec moins de 10 ans d’expérience, il est préférable d’opter pour un MBA. C’est également le meilleur choix si vous venez d’intégrer le monde du travail, si vous êtes au début de votre carrière. Le programme de formation en MBA vous aidera à avoir les bonnes bases en management et en gestion.

Pour les formations en logistique et en technicien de terrain

Il y a de nombreuses institutions se spécialisant dans les études de terrain pour préparer les étudiants à la réalité du travail humanitaire. On cite l’école Bioforce à Vénissieux, qui forme les étudiants aux bases de l’environnement de travail et de la logistique durant les missions humanitaires. Ces études durent trois ans après le bac, s’achevant par l’obtention d’une licence professionnelle.
L’ISTOM à Angers, forme les étudiants durant cinq ans à l’agro développement international pour obtenir un diplôme d’ingénieur. Il y a également l’Institut de Formation et d’Appui aux Initiatives de Développement à Bordeaux, qui propose des formations de neuf mois de théorie et neuf mois de stage. Elle est spécialisée dans la coordination de projet de solidarité internationale et locale.

Pour les formations en management liées au secteur humanitaire

Travailler en humanitaire nécessite également des connaissances en management spécialisés. À l’IRCOM aux Ponts-de-Cé, on retrouve un cursus de deux ans après un bac+3 permettant d’obtenir un master Management de la solidarité internationale et de l’action sociale. Avec ce titre vient aussi une certification d’expert en économie solidaire.
L’École supérieure de commerce et de développement 3A à Lyon quant à elle, se spécialise dans le management humanitaire. Une étude de trois années après le bac permet d’obtenir un Bachelor de responsable opérationnel à l’international. Après ce diplôme, un cursus de deux ans permettra aux élèves de porter le titre de manager de projets internationaux et nationaux.

Des secteurs d’activité divers

Actuellement, plusieurs millions de personnes occupent un poste administratif dans les entreprises privées ou au sein des institutions publiques. En France, l’effectif de la branche administrative se situe entre 3 et 4 millions d’employés. Compte tenu de l’évolution du nombre de nouvelles sociétés inscrites au RCS ces dernières années, le nombre de postes créés a également augmenté. Que l’entreprise œuvre dans le domaine de l’hôtellerie, de l’immobilier, de l’outsourcing ou dans tout autre secteur d’activité dans ce cas, la branche administrative joue un grand rôle. D’ailleurs, les postes sont particulièrement variés, à l’instar de l’adjoint administratif, le secrétaire ou encore l’agent de recouvrement et bien d’autres encor.

Les tâches administratives

Au fur et à mesure que la gestion d’une entreprise devient complexe, les tâches administratives se multiplient. C’est d’ailleurs pourquoi les effectifs augmentent au sein des entreprises, même les petites structures. De ce fait, pour s’occuper des tâches administratives, Les petites entreprises privilégient le plus souvent les profils polyvalents capables de s’occuper de plusieurs tâches à la fois. Pour les plus grandes entités et les administrations publiques, les compétences doivent être plus pointues et les tâches administratives peuvent être confiées à plusieurs personnes, selon le type de traitement administratif à réaliser.

L’évolution du poste d’assistant administratif

Ces dernières années, les entreprises préfèrent confier les tâches administratives à un assistant au lieu de la traditionnelle secrétaire. Et pour cause, l’assistant administratif endosse plus de responsabilités comme la gestion des courriers et des appels, l’intégration des informations dans les logiciels de l’entreprise, la gestion de l’agenda, la gestion des relations extérieures et intérieures, etc. Dans certaines structures, l’assistant de direction prend même en main certaines opérations importantes comme la conclusion de certains contrats ou la prise de décisions à partir d’informations qu’il détient. En somme, ses attributions varient d’une entreprise à une autre. Cependant, on ne peut nier l’évolution du métier de secrétaire vers l’assistant administratif compte tenu de l’accroissement de ses responsabilités.

Les points à connaitre pour intégrer ce corps de métier

Comme aucun justificatif n’est exigé pour devenir coacher une personne, n’importe qui peut s’attribuer le statut de coach. Néanmoins, certains CV brillent plus que d’autres. En dehors des formations standard telles que le PNL, gestalt-thérapie ou autres qui sont indispensables pour le métier, des fédérations de coachs professionnels ainsi qu’une horde d’associations luttent ensemble depuis un certain temps pour la professionnalisation du métier. Pour cela, elles ont mis en place un processus de certification (ICF) ou d’authentification (SFCoach). L’homologation s’obtiendra après plusieurs heures de formation suivie d’une introspection qui peut conduire à une psychothérapie combinée à une expérience professionnelle concluante.

Formations et choix de la bonne école ?

À ce jour, il n’existe toujours pas de diplôme national de coaching officiel. Les étoiles montantes dans cette branche sont généralement issues des grandes écoles telles que l’ENA, l’ICN, Paris VIII ou encore Paris II. Mais pour se convertir à ce métier désormais fructueux, les candidats sont amenés à suivre des cursus accompagnés de plusieurs formations pratiques afin de développer au mieux leurs compétences. Le choix de l’école dépendra avant tout de votre orientation finale. Ensuite, renseignez-vous auprès de plusieurs établissements afin de trouver celui qui vous convient le mieux. En parallèle avec ces formations opérationnelles, vous avez également des modules tirés de l’approche systémique, de la PNL, de l’analyse transactionnelle et de la gestalt-thérapie. Ceci étant, même si toutes les institutions fournissent à leurs apprentis une attestation de fin de formation, rien ne vaut une certification agréée.

Suivez des cours en vente en ligne

Il existe de nombreux écoles de commerce et établissements dédiés mais votre situation ne vous permet probablement pas d’y suivre des cours. Soit c’est trop cher soit c’est votre emploi du temps qui ne correspond pas aux leurs. Heureusement, il y a les cours en ligne où, comme dans une école ou une université, vous apprendrez tout sur la vente, la relation avec la clientèle, la négociation, etc. Tout du long, vous apprendrez l’essentiel de l’accueil client, la gestion de stock, la tenue d’une caisse ou la tenue d’un rayon, le conseil, la mise en rayon, etc.

Au final, quel diplôme obtiendrez-vous ?

Lorsque votre formation prendra fin et que vous réussissez votre examen final, vous obtiendrez un certificat prouvant que vous avez toutes les aptitudes nécessaires que requièrent les métiers de la vente. Vous serez alors prêt pour des métiers comme télévendeur, commercial ou télécommercial, caissier, conseiller de vente et avec le temps, gérant de magasin etc. Pour aller plus loin et viser des métiers plus rémunérés par exemple, vous pouvez continuer en préparant un diplôme du commerce et de la vente, tel que le BTS NDRC ou encore le BTS technico-commercial.

Les études en France attirent les étrangers

La renommée de nos établissements d’études supérieures est internationale et leur niveau figure parmi les meilleurs dans beaucoup de domaine. Nul n’ignore par exemple que le HEC de France fait partie des premiers sur le plan mondial. C’est cela qui attire nombre d’étrangers à venir poursuivre leurs études sur le sol national. Nos établissements ne se démarquent pas par leur gratuité mais les frais d’études ne sont pas non plus exceptionnellement élevés, à moins d’aller dans les grandes écoles et les instituts privés. Et puis, des bourses peuvent être octroyées sous certaines conditions.

Le budget d’études comprend quoi exactement ?

Un étudiant étranger qui envisage de suivre des études en France doit absolument préparer,, non seulement tous ses papiers, mais aussi son budget. Mais le budget pour quoi précisément ? Il est question du budget pour tout le séjour, c’est-à-dire pendant les années d’études. Y sont donc compris les dépenses courantes telles que le loyer, la nourriture, les factures d’électricité et les diverses assurances. Il faut également compter les dépenses santé, les éventuels outils et matériels nécessaires aux études etc. En fait, l’obtention d’un visa d’étude dépend des ressources financières que présente un étudiant. Celles-ci doivent être d’environ 5000 euros pour une année, ce qui équivaut à environ 450 euros mensuels. Mais en réalité, un étudiant a besoin de plus pour pouvoir vivre correctement en France, dans les 1 100 euros à Paris et un peu moins, dans les 800 euros en province.

Combien coûte les frais d’inscription ?

Les établissements ayant chacun leurs critères d’admission, les frais varient en fonction du choix de l’établissement. À la fac, ces frais sont bas, ils sont dans les 165 euros par an en licence, un peu plus en master (215 euros) et en doctorat 326 euros. Évidemment, dans les grandes écoles, surtout dans les écoles de commerce privées, les frais sont assez élevés, il faut compter entre 3 800 et 7 000 euros par an. Les frais dans les écoles d’ingénieurs privés atteignent les 6 000 euros alors que dans le public, ils sont de 45 euros environ.

Avantages accordés aux étudiants

La France accorde un certain nombre d’avantages aux étudiants, nationaux:et étrangers, facteur qui séduit ces derniers et les incitent à venir y étudier. Ils bénéficient donc d’un statut qui leur donne droit à des réductions pour les frais de transport, de même que pour les loisirs et les divertissements, ce qui réjouit grandement les jeunes. Quant aux repas dans les restaurants universitaires, ils leur sont servis à moins de 3 euros, ils ont un libre accès aux bibliothèques universitaires. Côté logement, certains étudiants peuvent avoir droit à une chambre dans les résidences universitaires pour seulement 150 euros par mois.

Les qualités essentielles

Pour effectuer correctement son travail, il doit savoir écouter patiemment et faire preuve de maîtrise de soi pour ne pas trop parler ou plus précisément pour parler peu. Car en tant que psychologue clinicien, son rôle est d’amener ses patients à trouver les solutions de leurs problèmes par eux-mêmes. Il peut arriver que certains patients aient besoin d’un long accompagnement, ce qui veut dire que le psychologue clinicien doit cultiver et entretenir une très grande patience. S’il exerce au sein d’une collectivité territoriale, il contribue à la réinsertion des personnes en difficultés sociales, ce qui requiert de sa part un intérêt sincère et profond pour les autres.

Les études qui mènent au métier de psychologue clinicien

Il existe plusieurs métiers en psychologie, dont la psychologie clinicienne qui réclame un diplôme de Master en 2 en psychologie afin de pouvoir assurer des séances de psychanalyses et de psychothérapies aux patients. La sélection pour ce Master 2 (master professionnel comme master recherche) est extrêmement stricte, ce qui veut dire qu’il faut faire preuve d’excellence et d’un travail sérieux et soutenu pour avoir des chances d’y parvenir. Mais avant ce Master, il faut atteindre le Master 1 en obtenant la moyenne chaque année mais aussi une licence en psychologie. Les notes obtenues durant cette année de master comptent énormément, il en est de même que l’appréciation des travaux de recherche, des stages qui ont été effectués, du projet de stage et de mémoire. Et il existe plusieurs spécialités parmi lesquelles faire son choix, de la psychopathologie clinique à la criminologie.

Formation pour obtenir le CAP

Comme la plupart des métiers d’artisan, le meilleur moyen pour se qualifier dans l’art floral en tant que professionnel est le CAP (Certificat d’Aptitude Professionnel). Cette formation est généralement dispensée en alternance. En d’autres termes, vous aurez des cours plus ou moins théoriques d’une part, mais d’autre part, vous pourrez vous appliquer chez des fleuristes en tant qu’apprentis. Pour être fleuriste, la pratique vaut plus que les démonstrations ou les cours théoriques. Mais par-dessus tout, la passion et la motivation doivent être au rendez-vous.

D’autres formations possibles

Après le CAP, vous pouvez vous doter de plus de qualifications avec un brevet professionnel (BP). Durant les deux années de formation, vous vous pencherez plus sur l’aspect entreprenariat du métier. Vous apprendrez à monter votre petite entreprise, à gérer vos commandes et vos stocks, etc.
Outre le CAP et le BP, des formations certifiantes vous aideront à acquérir les bases de l’art floral. Ces formations sont surtout destinées aux futurs assistants de fleuriste ou employés de pépinière.

La formation à distance pour les adultes

Toutes ces formations peuvent être dispensées à distance. Cela est plus commode pour les adultes, qui ont besoin d’un emploi du temps flexible. Vous pouvez ainsi vous former à votre rythme. La formation à distance est aussi idéale pour ceux qui vivent une reconversion professionnelle, puisqu’ils peuvent à la fois travailler et se former. Des exercices corrigés, des démonstrations en vidéo, des examens blancs composeront la formation, qui sera personnalisée à chaque étudiant.

Devenir auxiliaire de puériculture ou aide-soignant

Les conditions exigées pour être admis dans les écoles en vue de faire carrière en tant qu’auxiliaire de puériculture ou Aide-soignant sont les mêmes. Un concours d’entrée est à réussir avant de commencer à la préparation du diplôme d’État (DE), un concours qui ne requière aucun diplôme. En ce qui concerne les aspirants auxiliaires de puériculture, durant toute la moitié de la formation, ils la passeront la moitié de la formation avec les futures aides soignantes avant d’effectuer vingt-quatre semaines de stage obligatoire.

Devenir ambulancier

Que vous soyez diplômé ou pas, le concours d’entrée est ouvert à tous, toutefois, la possession d’un permis de conduire de catégorie B (mention ambulance) d’au moins deux ans en plus d’un certificat médical est indispensable. Il est bon de noter qu’être en bonne santé est une condition appréciée.

Devenir monteur en optique-lunetterie

Le certificat d’aptitude professionnelle (CAP) optique-lunetterie se prépare en alternance ou à temps complet selon vos disponibilités. La durée d’apprentissage est de deux ans et peut débuter dès lors que vous avez fini la classe de troisième. Si vous souhaitez continuer et obtenir un baccalauréat professionnel dans ce domaine, le niveau d’admission est le même et se prépare durant trois ans.
Il est bon de remarquer ici que le marché de l’emploi dans le secteur paramédical est quelque peu en baisse, mais cela signifie que les opportunités d’embauche y sont nombreuses et cela dans tous les métiers. Certaines professions ont même tendance à manquer de personnel.

En quoi consiste le métier d’un horloger ?

Lorsqu’on vous parle d’horloger, pendules, secondes, minutes… sont les mots qui vous viennent tout de suite en tête. Vous avez bien raison puisqu’un horloger qui est digne de ce nom doit avoir les compétences requises pour dompter les secondes et les heures. Il doit même être capable de faire arrêter le temps. Concrètement donc, le métier d’un horloger consiste à faire le montage, la réparation ainsi que le réglage d’horloges et de réveils. Autrement dit, il maîtrise le temps et tous les symboles qui y sont associés.
Un horloger est alors un artisan qui analyse et décérèbre l’ensemble du système de fonctionnement d’une montre. Pour pouvoir prospérer dans le métier, vous devez alors avoir trois qualités principales : minutie, patience et perfectionnisme.

Quelles formations pour devenir spécialiste de l’horlogerie ?

Les métiers de l’horlogerie sont très techniques et très rigoureux. Suivre une formation s’impose alors si vous voulez y accéder. Aussi, vous pouvez vous former aux métiers en fonction de votre niveau d’étude. Dès la fin de la classe de 3e, vous pouvez passer le Certificat d’aptitude professionnelle (CAP) horlogerie. Après le bac, vous avez un peu plus de possibilités. Vous pouvez, par exemple, préparer la FCIL horloger (ou Formation complémentaire d’initiative locale). Il s’agit d’une formation locale rapide qui vous permettra d’acquérir des bagages intellectuels plus accrus dans le domaine et qui correspondra, essentiellement au marché local de votre région. Outre cela, vous pouvez aussi préparer un BMA horlogerie (Brevet de métiers d’art). Un diplôme qui peut aussi être obtenu en complément du CAP. Pour finir, il est possible de passer un Diplôme national des métiers d’art et du design ou DN MADE mention instrument.