Les métiers associés à la programmation et à la conception web

La programmation, la conception et l’application web recèlent nombreux métiers très rentables en indépendant. Intégrateur de donné, développeur web, webdesigner, etc., sont autant de professions dans cette catégorie. Les personnes travaillant dans ce milieu ont un grand savoir-faire en informatique. Certains maîtrisent un ou plusieurs langues informatiques (PHP, html, CSS, python…), si d’autres ont une connaissance approfondie des outils de conception web ou CMS.

Le graphiste web

Le métier de graphiste web peut être exercé en indépendant comme en société. Très recherchée, cette profession passionnante paie bien. Ce personnage crée pour son client des logos, des documents ou encore des supports de communication. Outre ses qualités artistiques, il a une forte connaissance en informatique. Pour satisfaire ses clients et remplir à merveille son travail, il doit être au courant des nouveaux outils dans son domaine et les maîtriser.

Happiness manager, un métier dans le développement personnel

Le métier de happiness manager est encore peu connu et très promoteur. Cet individu exerce sa profession en entreprise, faisant en sorte que tous les salariés soient heureux et motiver en exécutant leur tâche. En freelance, il règle les conflits au sein d’une équipe. Entre salariés et employeurs, il organise des rencontres. Il conseille et peut apporter des nouvelles idées pour améliorer le bien-être et la relation des collaborateurs au sein d’une entreprise. Spécialiste en développement personnel, ce personnage a aussi des compétences solides en relations humaines, en communication et en évènementielles.

Pourquoi devenir ingénieur spatial ?

Les secteurs aérospatial et aéronautique font actuellement partie des plus grands porteurs d’enjeux économiques et stratégiques pour le monde moderne. En optant pour un métier dans ces secteurs, vous vous assurez en quelque sorte votre avenir. Les projets spatiaux ne feront qu’augmenter à l’avenir et les débouchés à la recherche d’ingénieurs compétents ne sont pas tellement rares. À part l’État, les industriels tels que le MBDA ou Arianespace peuvent en effet recruter les jeunes diplômés.

Le salaire s’avère aussi être une bonne source de motivation pour vous lancer. Un débutant gagne approximativement entre 30 000 € et 40 000 € de salaire brut par an. Un ingénieur expérimenté en fin de carrière touche, quant à lui, jusqu’à 100 000 € par an. Sachez toutefois que ce métier nécessite beaucoup de volonté, de détermination et de sang-froid. Lorsque vous êtes à la tête d’un projet qui vaut des millions d’euros, vous n’aurez pas droit à l’erreur.

Quel est le rôle d’un ingénieur spatial ?

En tant qu’ingénieur, vous vous chargerez principalement de la conception, de la fabrication et de l’entretien de divers dispositifs spatiaux. Vous serez éventuellement amené à concevoir des sondes interplanétaires, développer des familles de satellites, etc. Vous serez également impliqué dans la construction des lanceurs et des engins qui seront propulsés dans l’espace. Les tâches dont vous aurez à vous occuper dépendront toutefois de la spécialisation que vous choisissez.

Ainsi, un intégrateur satellite se chargera de l’assemblage des composants d’un satellite. Un ingénieur propulsion aura, quant à lui, pour rôle de s’occuper de la technologie permettant aux engins de se propulser. Quelle que soit sa spécialisation, un ingénieur spatial aura besoin de connaissances dans des domaines variés (informatique, électronique, matériaux composites, etc.) pour mener à bien ses missions.

Quelle formation suivre pour devenir ingénieur spatial ?

Si vous prévoyez de devenir ingénieur spatial, vous aurez besoin de vous spécialiser en mathématiques, physique-chimie ou sciences de l’ingénieur dès la première année d’études. Vous pouvez ensuite cibler une classe préparatoire scientifique en vue d’intégrer une grande école spécialisée telle que l’ESTACA en passant par un concours. En ouvrant ce site web, vous pourrez avoir plus d’informations sur cet établissement et ce qu’il propose. Cette école est ouverte tant aux Français qu’aux étudiants étrangers. Même si une école généraliste peut proposer une spécialisation, une Grande École vous proposera une meilleure formation.

À l’ESTACA, vous aurez par exemple la possibilité de participer à des projets d’études encadrés par de véritables ingénieurs travaillant dans le secteur spatial. Chaque étudiant a en plus la possibilité de passer au moins un an de stage en entreprise. À la fin de votre cinquième année, vous aurez ainsi suffisamment de connaissance et même une expérience en entreprise qui vous permettra d’intégrer plus facilement le monde du travail.

Il faut par ailleurs noter que même si vos compétences scientifiques sont les plus importantes, votre formation ne se focalisera pas uniquement sur ce point. La plupart des agences opérant dans le secteur spatial se servent, par exemple, de l’anglais comme langue de travail, ce qui signifie que vous aurez besoin de maîtriser cette langue.

Les points à connaitre pour intégrer ce corps de métier

Comme aucun justificatif n’est exigé pour devenir coacher une personne, n’importe qui peut s’attribuer le statut de coach. Néanmoins, certains CV brillent plus que d’autres. En dehors des formations standard telles que le PNL, gestalt-thérapie ou autres qui sont indispensables pour le métier, des fédérations de coachs professionnels ainsi qu’une horde d’associations luttent ensemble depuis un certain temps pour la professionnalisation du métier. Pour cela, elles ont mis en place un processus de certification (ICF) ou d’authentification (SFCoach). L’homologation s’obtiendra après plusieurs heures de formation suivie d’une introspection qui peut conduire à une psychothérapie combinée à une expérience professionnelle concluante.

Formations et choix de la bonne école ?

À ce jour, il n’existe toujours pas de diplôme national de coaching officiel. Les étoiles montantes dans cette branche sont généralement issues des grandes écoles telles que l’ENA, l’ICN, Paris VIII ou encore Paris II. Mais pour se convertir à ce métier désormais fructueux, les candidats sont amenés à suivre des cursus accompagnés de plusieurs formations pratiques afin de développer au mieux leurs compétences. Le choix de l’école dépendra avant tout de votre orientation finale. Ensuite, renseignez-vous auprès de plusieurs établissements afin de trouver celui qui vous convient le mieux. En parallèle avec ces formations opérationnelles, vous avez également des modules tirés de l’approche systémique, de la PNL, de l’analyse transactionnelle et de la gestalt-thérapie. Ceci étant, même si toutes les institutions fournissent à leurs apprentis une attestation de fin de formation, rien ne vaut une certification agréée.

Les identifier

C’est peut-être aussi l’employé au mauvais rendement, qui n’évolue jamais et qui patauge dans l’incompétence. Ou bien celui qui manque totalement d’assiduité ou n’est jamais à l’heure, soit pour arriver au travail soit à un rendez-vous d’affaires. Ce peut être également l’employé qui n’a aucun sens de l’intégrité et ne veut pas se mettre au pas comme l’ensemble du personnel. En somme, il s’agit de l’employé qui a un comportement inacceptable et qui ralentit la progression de tous, donc de l’entreprise, ou dont le rendement est tout simplement insatisfaisant par rapport aux normes et aux règles d’une entreprise donnée.

Un impact négatif sur toute la structure

Le fait d’avoir des employés difficiles n’est pas une nouveauté et n’est pas non plus un problème insoluble. Il faut toutefois traiter la situation avec délicatesse et efficacité. Car l’impact négatif de tels salariés au sein d’une entreprise peut être très fort. En effet, un seul employé à problème peut entraîner une baisse de la productivité et de l’efficacité de toute l’équipe. De par sa conduite, la qualité des produits et du service peut être altérée. Puisqu’il n’est pas rentable, son comportement insoumis peut donner un surcroît de travail pour les autres, ce qui va créer de l’insatisfaction de leur part avec le temps. Les gestionnaires et les collègues peuvent finir par en tomber malades ou sérieusement perturbés, donc des atteintes mentales et physiques. Dans tous les cas, l’ambiance générale sera plombée, le climat de travail est dégradé, ce qui n’est pas une bonne motivation pour se rendre au travail tous les matins.

Identifier le comportement

Dans le cadre d’un recadrage, il doit lui parler calmement, par opposition à la colère qui anime son collaborateur. Il lui rappelle les règles de conduite de l’entreprise et les limites que personne ne doit dépasser ainsi que les sanctions le cas échéant. Il doit discuter avec lui de ce qui peut être fait pour qu’il puisse mieux maîtriser ses paroles et ses actions et puis, suivre de près ses progrès. Un râleur, constamment négatif, est celui qui ne cesse de critiquer tout et assume ses missions en rechignant. Conscient qu’un tel comportement provient d’un manque de confiance en soi, le manager va prendre le temps de l’écouter attentivement pour lui faire comprendre que ses points de vue comptent, que ses propositions sont les bienvenues. Le manager se montrera toujours positif et constructif pour lui servir de modèle.

Quelles actions face à un anxieux ?

Le bon manager essaiera de comprendre pourquoi son collaborateur est ainsi si anxieux. Y a-t-il des raisons valables de l’être ou c’est son imagination qui s’emballe ? Son rôle dans ce cas est de rassurer cet anxieux et mettre en valeur ses compétences qui sont d’une grande utilité pour l’entreprise. Il doit se montrer disponible envers ce collaborateur et l’écouter exprimer ses doutes et ses craintes. Face à un blasé, le recadrage est le plus difficile car presque plus rien ne marche sur un tel collaborateur. Peut-être a-t-il besoin de changer de poste, de missions, de plus de reconnaissance, etc.

Les spécialités et les métiers en gestion d’entreprise

Ce système de gestion peut également être modifié et remanié si les orientations d’une entreprise prennent une autre direction ou si la nature de ses ressources a changé. La gestion doit aussi tenir compte de l’environnement national, voire international dans certains cas. Dans tous les cas, sachez qu’il existe une très grande diversité de systèmes de gestion. Cette gestion d’entreprise comprend en fait un ensemble de métiers de gestion qui sont caractérisés par la nature des ressources à mettre en œuvre. Dans le cadre de spécialités de gestion liées à la nature des ressources, il y a des disciplines devenues basiques dont le rôle est de traiter les moyens matériels d’activité. On parle alors de gestion de la production.

Les différentes disciplines de la gestion d’entreprise

Il existe plusieurs disciplines qui sont désormais classiques en gestion d’entreprise, dont la gestion de la production, citée plus haut. Mais il y a aussi la ressources humaines et les ressources financières, et d’autres qui sont moins classiques, du fait qu’elles sont plus récentes. Ces disciplines sont liées au développement des systèmes d’information, en croissance continue, et le développement des systèmes logistiques, de plus en plus pointus. Cependant, de toutes, la gestion de la production reste le coeur du système de gestion d’entreprise. En effet, il a été constaté et prouvé que pour réaliser les biens matériels, il fallait savoir conjuguer avec efficacité les matières premières, le capital matériel, l’énergie nécessaire et le travail humain.

Les qualités requises pour devenir présentateur TV

Vous aimez une audience ou dialoguez avec des invités sur des sujets précis. Vous vous devez alors de les maîtriser pour assurer le bon déroulement de l’émission. Il faut tenir en compte que l’objectif est de faire le maximum d’audiences possibles. Vous devez avoir l’esprit de repartie pour que l’émission soit vivante. Le présentateur est toujours en étroite collaboration avec le producteur. Ils conçoivent ensemble un fil conducteur de l’émission. Il faut respecter une étape précise de la présentation, organiser les différentes interventions tout en assurant quelques improvisations pour rendre l’émission plus attrayante. Pour ce faire, le présentateur doit avoir une grande aisance verbale. Il faut être dynamique et imaginatif pour captiver les auditoires.

Quelles formations faut-il suivre ?

Pour devenir animateur TV ou radio, il n’y a pas de formations spécifiques à suivre. Le moyen pour y parvenir est de multiplier les stages et acquérir de l’expérience. Néanmoins, il est plus avantageux d’intégrer la filière communication ou les métiers de l’image et du son. L’animateur prépare l’émission chez lui ou aux bureaux de la chaîne. L’enregistrement se fait dans les studios de la télévision ou de la radio ou encore dans des studios indépendants.